« Leur rémunération reste la plus faible de l’édition, avec des droits d’auteur équivalents à 8 % du prix de vente de l’album, à partager à deux. La dernière évaluation précise date des États généraux de la BD en 2016 et faisait état de 36 % d’auteurs vivant sous le seuil de pauvreté et 53 % gagnant moins que le salaire minimum »