Le mille-feuille administratif n’a pas été simplifié. « Quand le lait est à l’état liquide, c’est la direction générale de l’alimentation [DGAL] qui est chargée des contrôles. Quand il est à l’état solide, ce sont les services de Bercy », résume M. Besson-Moreau, qui plaide pour la création d’une police unique de l’alimentaire